2018.04.05

主日の義務 13

神の慈悲を「頼み過ごす」こと

「頼み過ごす」=「過度に期待する」

前回の後半で取り上げた、神の慈悲を「頼み過ごす」こと、について、他の文章も掲げておく。

今田健美神父様の公教要理講解(『種蒔く人』上巻)から。

pp.353-354

望徳に背く行い

今田健美神父様

(1910-1982)

 望徳に背く行いは二つあります。

(1)望徳をはき違えて、天主の助けを頼み過ぎることです。自分は少しも努力しないでおいて、「でも神さまはきっと助けて下さる」と思い過ごすことです。例えば罪を犯しても、これくらいなことで寛大な天主はお怒りにはならない、と悪事をしながら天主を自分の味方と思うことです。

エンリケ・リベロ神父様。

リベロ神父説教集

キリスト信者の霊性(16) ―希望の徳―

リベロ神父様

(1927-2000)

 公教要理によると、希望の徳とは「超自然の徳であって、これによって人は永遠の生命と、それを得るために必要な恩恵とを、神の御約束によって受けることを希望します」(カトリック要理)。
 この徳に反して、二通りの罪を犯す可能性があります。
 すなわち、希望が足らない(罪)と根拠なしに希望があり余る罪です。希望が足らないときは失望の罪になります。その反対に、神の憐みを軽々しく頼みにして平気で罪を犯すときは、それは「自負心」の罪になります。

「自負心」という言葉の選択はどうかとは思うけれど。
(神父様は外国人であられる)

次に、アルスの聖ヴィアンネ神父様(1786-1859)。
モンナン神父編『聖ヴィアンネの精神  公教要理・説教・会話』(聖母文庫)より。一箇所の〔 〕は私による付加。

pp.159-162

二〇、望徳についての要理

 皆さん、望徳について話しましょう。望徳はこの世の人間にすべての幸福を与えます。この世には余りに希望しすぎる人と、十分に希望しない人とがあります。こういうことを言う人がいます「もっとこの罪を犯そう。このことについて三度告げるのも四度告げるのも同じことだから」と。このような人は父親に「私はお父さんを四回鞭打ちします。一度打つのも四度打つのも同じことだから、お詫びすれば、それですむ」と言う子供に似ています。管理人注1
 人々が神様にどんな仕打ちに出るかを御覧なさい。「今年はまだダンスや居酒屋に行って楽しもう。心を入れかえるのは来年だ。私が戻りたいと思えば、そのときは、神様は快く許して下さる。神様は神父様が言うほど意地悪じゃない」と言います。そうです。神様は意地悪じゃありません。しかし、正義にて在すのです。神様が皆の望みには一も二もなく妥協すると思っているのですか。神様を一生涯軽蔑しておいて、神様が皆の首にとびついてきて許してくださるとでも思っているのですか。いいえ、そうじゃありません。聖寵にも罪にも神様が手をひかれる度合いがあります管理人注2。賢い子供と賢くない子供とを同様に取り扱う父親を皆は何と言うでしょうか。「よく働いてくれる子供と逆らう子供とを、少しも差別なしに取り扱う父親は正しくない」と言うでしょう。
 皆さん、現代は邪[よこしま]な望みを持つか、そうでなければ失望するかという程に、人々には信仰が足りません。「私は悪いことをしすぎた。神様は許して下さらないだろう」と言う人がいます。これは酷い冒涜です。神様の御憐れみに限度を設けることです。神様の御憐れみには決して限度がありません。無限です。小教区を亡ぼすに十分な程の罪を犯しても、告解して、このような罪を犯したことを悔い、もう二度と犯すまいと決心したのであれば、神様は許してくださっています。
 あるとき、一人の司祭が望徳と神様の御憐れみについて説教していました。説教の後で、一人の青年がやってきて言いました「神父様、告解をしに参ったのですが」。「ようございます。聴きましょう」と司祭は答えました。青年は告白して、その後で付け加えて言いました「神父様、私は沢山の罪を犯しました。私は地獄行きです……」──「おお、何と言われます。決して失望してはなりません……」。青年は立ち上がって言いました。「神父様、失望してはいけないとおっしゃるのですか。あなたはどうですか……」。これは一条の光明でした。深く感動したこの司祭は、失望の念を追い払うために、修道者となって、そして大聖人となりました。……決して失望してはならないことを悟らせるために、神様が天使を青年の姿にして、お遣わしになったのです……。
 自分の子供を母親があわてて火から救い出すように、神様は許し〔を〕願うならば、すぐに許してくださいます。
 いいですか、皆さん、わが主は、この世では、子供を腕に抱いている母親のようなものです。この子供は意地悪です。足で自分の母親を何度も蹴り、噛みつき、はては悪態をつくのです。しかし母親は少しも気にしません。手を緩めるならば、子供が落ちて、一人では歩けないことを知っているのです……わが主もこの母親のようです……主は私共の悪しざまな仕打ちをすべて耐え給うのです。私共の横柄をすべて忍び給うのです。このような私共をも、かまわずに憐れんでくださるのです。

[管理人注1] 子供が父親を「鞭打ち」するのは猟奇的である。不適切な訳ではないか、と思い、ネットの中を調べた。すると、フランス語原文と英語訳を見つけた(に貼っておく)。で、ここの訳として適当なのは──「それは父親に『僕はお父さんを四回たたくよ。一回たたくのも四回たたくのも同じなんだから。あとで謝ればいいんだからね』と言う小さな子供(child)に似ています」というところではないかと思う。戻る

[管理人注2] 「聖寵にも罪にも神様が手をひかれる度合いがあります」?  意味がよく分からない。
[仏]Il y a une mesure de grâce et de péché au bout de laquelle Dieu se retire.
[英]There is a certain measure of grace and of sin after which God withdraws Himself.
やっぱり分からない。戻る

メモ

この本の編者「モンナン神父」とは Alfred Monnin 神父(1823-1886)であるようだ。ヴィアンネ神父様と同国人、つまりフランス人。

上の本の原著は『Esprit du curé d'Ars : saint J.-B.-M. Vianney : dans ses catéchismes, ses homélies et sa conversation』 参照amazon
英訳書も出ている。『The Spirit of the Curé of Ars』 amazon

「望徳についての要理」のフランス語原文と英語訳
(こんなのを掲げてもあまり意味はないが)

フランス語原文

Google Books  

XX
Catéchisme sur l'espérance.

Mes enfants, nous allons parler de l'espérance : c'est elle qui fait tout le bonheur de l'homme sur la terre. Il y en a en ce monde qui espèrent trop, et d'autres qui n'cspèrent pas assez. Il y en a qui disent : « Je vais encore commettre ce péché. Il ne m'en coûtera pas plus d'en dire quatre que d'en dire trois. » C'est comme si un enfant disait à son père : « Je vais vous donner quatre soufflets ; il ne m'en coûtera pas plus que de vous en donner un ; j'en serai quitte pour vous demander pardon. »

Voilà comment on agit envers le bon Dieu. On dit : « Je vais encore me divertir cette année, aller à la danse, au cabaret, et l'année prochaine je me convertirai. Quand je voudrai revenir à lui, le bon Dieu me prendra bien. Il n'est pas si méchant que les prêtres le disent... » Non : le bon Dieu n'est pas méchant, mais il est juste. Croyez-vous qu'il s'accommodera à toutes vos volontés? Croyez-vous, après que vous l'aurez méprisé, toute votre vie, qu'il va se jeter à votre cou? Oh! que non!... Il y a une mesure de grâce et de péché au bout de laquelle Dieu se retire. Que diriez-vous d'un père qui traiterait de la même manière un enfant sage et l'autre pas si sage ? Vous diriez : Ce père n'est pas juste. Eh bien! Dieu ne serait pas juste s'il ne faisait point de différence entre ceux qui le servent et ceux qui l'offensent.

Mes enfants, à présent, il y a si peu de foi dans le monde que l'on espère trop, ou l'on désespère. Il y en a qui disent : « J'ai trop fait de mal ; le bon Dieu ne peut pas me pardonner. » Mes enfants, c'est un gros blasphème; c'est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et elle n'en a point; elle est infinie. Vous auriez fait autant de mal qu'il en faut pour perdre une paroisse, si vous vous confessez, si vous êtes fâché d'avoir fait ce mal, et que vous ne vouliez plus le refaire, le bon Dieu vous l'a pardonné.

Il y avait une fois un prêtre qui prêchait sur l'espérance et sur la miséricorde du bon Dieu. Il rassurait bien les autres, mais lui-même se désespérait. Après le sermon, il se présenta un jeune homme qui lui dit : « Mon père, je viens pour me confesser. » Le prêtre lui dit : « Je veux bien vous confesser. » L'autre lui fit l'aveu de ses fautes, après quoi il ajouta : « Mon père, j'ai fait bien du mal ; je suis perdu !... Que ditesvous, mon ami? Il ne faut jamais désespérer... » Le jeune homme se lève : « Mon père, vous ne voulez pas que je désespère, et vous?... » Ce fut un trait de lumière : le prêtre, tout étonné, chassa cette pensée de désespoir, se fit religieux et fut un grand saint... Le bon Dieu lui avait envoyé un ange sous la forme d'un jeune homme, pour lui faire voir qu'il ne faut jamais désespérer.

Le bon Dieu est aussi prompt à nous accorder notre pardon, quand nous le lui demandons, qu'une mère est prompte à retirer son enfant du feu.

英訳

Catholicism without compromise /
St. John Vianney Catholic Church

CHAPTER 19: Catechism on Hope

My children, we are going to speak of hope: that is what makes the happiness of man on earth. Some people in this world hope too much, and others do not hope enough. Some say, “I am going to commit this sin again. It will not cost me more to confess four than three.” It is like a child saying to his father, “I am going to give you four blows; it will cost me no more than to give you one: I shall only have to ask your pardon.”

That is the way men behave towards the good God. They say, “This year I shall amuse myself again; I shall go to dances and to the alehouse, and next year I will be converted. The good God will be sure to receive me, when I choose to return to Him. He is not so cruel as the priests tell us.” No, the good God is not cruel, but He is just. Do you think He will adapt Himself in everything to your will? Do you think that He will embrace you, after you have despised Him all your life? Oh no, indeed! There is a certain measure of grace and of sin after which God withdraws Himself. What would you say of a father who would treat a good child, and one not so good, in the same manner? You would say that father is not just. Well! God would not be just if He made no difference between those who serve Him and those who offend Him. My children, there is so little faith now in the world that people either hope too much, or they despair. Some say, “I have done too much evil; the good God cannot pardon me.” My children, this is a great blasphemy; it is putting a limit to the mercy of God, which has no limit – it is infinite. You may have done evil enough to lose the souls of a whole parish, and if you confess, if you are sorry for having done this evil, and resolve not to do it again, the good God will have pardoned you.

A priest was once preaching on hope, and on the mercy of the good God. He reassured others, but he himself despaired. After the sermon, a young man presented himself, saying, “Father, I am come to confess to you.” The priest answered, “I am willing to hear your confession.” The other recounted his sins, after which he added, “Father, I have done much evil; I am lost!” “What do you say, my friend! We must never despair.” The young man rose, saying, “Father, you wish me not to despair, and what do you do?” This was a ray of light; the priest, all astonishment, drove away that thought of despair, became a religious and a great saint…. The good God had sent him an angel under the form of a young man, to show him that we must never despair. The good God is as prompt to grant us pardon when we ask it of Him as a mother is to snatch her child out of the fire.

「罪の概念は中世の哲学が聖書の内容を悲観的に解釈したものである、という考えを徐々に刷り込むことによって」

フリーメイソンの雑誌『Humanisme』1968年11月/12月号 より

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